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Industry 4.0 Technologies and Value-Added Services: Opportunities and challenges for LDCs

This session explored the challenges and opportunities of integrating industry 4.0 technologies in LDCs’ value-added services, and discussed ways to help them reap the fruits of the digital age for increased integration in global value chains. Services inputs play an increasingly important role in global manufacturing by contributing to the value -added of all sectors. The COVID-19 pandemic showed the critical role that ICT and computer services play in facilitating global trade, and revealed that the integration of technologies and innovation in financial, transport and logistical services will be key to economic recovery and enhanced production capacity.

The session started by highlighting the importance of the services sector and value-added services for LDC economies. For Cambodia, Services may be considered the “next step in structural transformation” as they represented 36% of Cambodia’s GDP and employed 37% of the country’s total workforce before COVID-19. Hence, services are at the core of Cambodia’s various development strategies, including supporting digital services with high export potential, especially IT-enabled, fintech and animation services, but also enhancing input services’ readiness for technological advancements and Industry 4.0. One of the critical challenges affecting service providers’ ability to adopt new technologies, such as Artificial Intelligence, Robotics and Automation, the Internet of Things and others, is the need for workforce skills development. This is confirmed by the “Frontiers Technologies Readiness Index” prepared by UNCTAD and also other studies.

The discussions also reflected that while studies are showing that critical sectors in LDCs, such as agriculture and tourism, are using Industry 4.0 technologies, it is often on an experimental or pilot basis, using non-sustainable donor funds. Panellists agreed that developed countries and the donor community can play a broader and more profound role in supporting LDC integration in Industry 4.0 and its Global Value Chains, by supporting in-depth national studies to bridge the data gap, integrating industry 4.0 in regional trade agreements (RTAs) to promote LDC integration in value chains and responding to LDC demands for support and providing the necessary aid to promote the technological ramp-up of services in sectors of interest.

At the end, panellists shared a common view that adopting Industry 4.0 technologies in LDCs has to be gradual. They emphasised the importance that LDCs develop national strategies for Industry 4.0 integration and technological ramp-up. This was supported by a presentation by CUTS International on the driving considerations for adopting emerging technologies for firms and businesses. The presentation showed the results of recent studies by international organisations and academia on how Industry 4.0 technologies have different maturity time and diffusion speed which affects businesses’ decision and ability to adopt them. Finally the session concluded with a road map towards LDCs integration into Industry 4.0. Key elements of the road map included: i) conduct Industry 4.0 readiness assessments at macro and micro levels, ii) identify sectors of interest for technological ramp-up, iii) make Industry 4.0 accessible to SMEs through Public Private Partnerships (PPP), Investments, negotiated RTAs and facilitating access to finance, iv) digital upskilling programmes for youth and workforce, v) the development of national strategies for Industry 4.0 integration per sector and support it with the required regulatory reform and development and vi) consider education reform to support innovation.

On the panel were Rashid S. Kaukab, Executive Director, CUTS International, Geneva; Long Kemvichet, Ambassador and Permanent Representative to the WTO, Permanent Mission of the Kingdom of Cambodia to the World Trade Organization (WTO) and other International Organizations; Shamika N. Sirimanne, Director of the Division on Technology and Logistics, United Nations Conference on Trade and Development (UNCTAD); Jeremy Green, Deputy Permanent Representative, Permanent Mission of Australia to the World Trade Organization (WTO); Yasmin Ismail, Programme Officer, CUTS International Geneva.

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World Trade Congress on Gender

The World Trade Congress on Gender is the first international research conference on trade and gender. The Congress’ objective was to release research work conducted by trade and gender experts, with innovative thinking will be at the heart of the Congress. About 30 researchers from all over the world presented their latest findings on trade and gender.

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Le Burundi peine à promouvoir son agro-industrie

« Manque d’énergie, de matières premières suffisantes, la non implication du secteur privé dans ce domaine… » Tels sont les défis auxquels fait face le Burundi pour promouvoir une agriculture industrielle, selon Pr Severin Sindayikengera, directeur du Centre National de technologie alimentaire (CNTA).

“Manque d’énergie, de matières premières suffisantes, la non implication du secteur privé dans ce domaine… ” Tels sont les défis auxquels fait face le Burundi pour promouvoir une agriculture industrielle, selon Pr Severin Sindayikengera, directeur du Centre National de technologie alimentaire (CNTA).

C’était lors d’une conférence de presse, à Bujumbura, ce mardi 30 août, sur le projet « Promotion des liens entre l’agriculture, le climat et le commerce dans la Communauté est-africaine, 2ème phase (PACT-EAC2) ». Le directeur du CNTA évoque également les insuffisances dans le contrôle de la qualité : « Nous constatons que beaucoup d’unités de production utilisent des emballages de récupération avec des conséquences très nocives pour la santé des consommateurs.» Des jus ou autres boissons, censées produites industriellement, sont vendues dans des bouteilles « Heineken ». Il note, par ailleurs, les réticences des banquiers, poursuit-il, pour accorder des crédits agricoles afin d’augmenter la production.

Des signes d’espoir

Pr Severin Sindayikengera reste, néanmoins, optimiste, le Burundi disposant de potentialités de développement agro-industriel grâce aux fruits, légumes et au palmier à l’huile.

Frère JeanBizimana, directeur adjoint du Centre de formation rurale (CFR) de Giheta, dira que le palmier à l’huile fait entrer annuellement huit milliards de Fbu dans l’escarcelle des producteurs et 2.5 millions de dollars dans les caisses de l’Etat.

Le directeur du CNTA fonde son espoir aussi sur les barrages hydroélectriques en cours de construction. Une preuve, selon lui, que la question de l’énergie sera bientôt résolue. Quant aux matières premières, il estime que le Burundi pourra les importer à l’instar de Minolac Muramvya, qui importe la grande partie de ses matières premières. Et de conseiller sur la démarche à suivre : « Nous devons commencer par de petites unités de production agricole. Il faut aussi stimuler le secteur privé, le moteur du développement agro-industriel. »

Quid de la place du Burundi au niveau de la CEA ? Godefroid Manirankunda, coordonnateur du projet PACT-EAC2, le place en 4ème position, comme le Rwanda. Cependant, il fait remarquer que ce dernier a pu développer le secteur desbiens et services comme le tourisme, l’hôtellerie, l’internet, le transport, etc.

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Des Délégués des pays de l’EAC échangent sur les stratégies de rehausser la production et d’améliorer le commerce

Kigali: Des délégués des cinq pays de la Communauté est-africaine (EAC) qui sont le Rwanda, l’Ouganda, la Tanzanie, et le Kenya, échangent sur les stratégies de rehausser la production et d’améliorer le commerce, selon la Directrice Générale de l’Office rwandaise de Développement (RDB), Claire Akamanzi.

Kigali: Des délégués des cinq pays de la Communauté est-africaine (EAC) qui sont le Rwanda, l’Ouganda, la Tanzanie, et le Kenya, échangent sur les stratégies de rehausser la production et d’améliorer le commerce, selon la Directrice Générale de l’Office rwandaise de Développement (RDB), Claire Akamanzi.

«Cette réunion de deux jours grâce à l’appui de Cuts International étudie les possibilités de rehausser la production, surtout en réduisant les effets négatifs du changement climatique. Ceci est bon. Car, c’est le meilleure voie de renforcer le commerce dans les cinq pays de la région. Pour cela, l’on devra mettre en place des politiques appropriées », a-t-elle indiqué.

Interrogée sur la stratégie d’impliquer plus de femmes, surtout rurales, dans l’agriculture et la transformation des produits agricoles, la DG Akamanzi a répondu qu’il faut pour cela accorder aux femmes un appui financier.

«Cela est vrai qu’au Rwanda nous avons beaucoup de femmes rurales prestant dans le secteur agricole. Au niveau du Fonds pour le Développement des affaires (BDF), il existe un fonds de garantie réservé exclusivement au soutien pour les femmes », a-t-elle rappelé.

Elle a souligné que l’agriculture constitue 70 % du Production National Brut (GDP), et que la Vision 2020 prône le renforcement de ce secteur pour accroître le rendement par ha, tout en privilégiant la valeur ajoutée.

«C’est une voie obligée pour assurer la sécurité alimentaire et le bien-être de la population, tout en arrêtant de bonnes réponses aux problèmes qui affectent le commerce et la dégradation du sol, et tout aussi en augmentant les exportations. Il faudra renforcer surtout l’irrigation qui constitue une priorité majeure, assurer une agriculture résiliente face aux chocs dus au changement, créer des terrasses, et recourir aux intrants, créer des coopératives, transformer les produits agricoles, négocier le marché. Tel est le programmes du Gouvernement », a-t-elle poursuivi.

Pour le CEO de Cuts International basé à Genève, Rachid S. Kaukab, il est capital de promouvoir le secteur de l’agriculture dans les pays de l’EAC, et de définir des politiques. C’est une voie pour donner l’emploi, assurer la sécurité alimentaire, et trouver des réponses aux problèmes liés aux technologies de l’irrigation, à l’exportation, du marché, et du changement climatique.

«Il faut mettre en œuvre des politiques qui atteignent de bons résultats. Telle est la responsabilité du Gouvernement», a encore souligné Rachid Kaukab.

Pour la déléguée de l’Agence Suédoise de Développement International (SIDA), Rebecca Ygberg Amayra, la Suède a une longue tradition dans le développement du commerce et de la coopération en Afrique subsaharienne.

«Il nous faut améliorer des stratégies pour le développement économique, pour promouvoir l’environnement et une bonne utilisation des ressources. Mais aussi l’on doit renforcement la démocratie et les droits de la personne, ainsi que les opportunités économiques. Cela est conforme à l’agenda 2030 et à l’agenda 2063 de l’Union Africaine (UA)», a-t-elle noté.

Mme Rebecca a souligné que le SIDA renforce les capacités des pays de l’EAC au niveau de la facilitation du commerce et de la sécurité alimentaire. Le commerce doit être inclusif et demeurer une priorité dans la région afin qu’on arrive à une réduction durable de la pauvreté », a-t-elle poursuivi.

Pour Mme Felicia Muriuki de Africa Women Agribusiness, l’agriculture doit se pratiquer avec de la valeur ajoutée si l’on veut commercialiser les produits agricoles.

«Comment impliquer les femmes et faire pousser les cultures tout en aidant les familles jusque dans l’éducation des enfants ? Dans tous les cas, il y a un besoin d’énergie et d’investissements. Mais aussi de marchés et de fonds afin de faire prospérer les affaires. Le commerce exige qu’on ait une licence, une formation en gestion financière, ainsi que des technologies à jour. L’accès au marché se fera par soi-même ou à travers une coopérative. Il faut plus de synergie, de collaboration et de partenariat entre les femmes, afin de renforcer les familles. Pour cela l’on devra avoir de bons programmes de gestion, avoir de l’argent et le meilleur marché, ainsi que des produits de qualité. Il faudra travailler ensemble pour atteindre les objectifs », a encore expliqué Mme Muriuki.

Pour le Directeur de ACORD/Rwanda, François Munyentwari, ces délégués venus des pays de l’EAC, de Tunisie et de Genève, enrichiront l’atelier et donneront l’information sur les technologies à jour dont nos pays ont besoin.

«Il nous faut nous référer non pas à des technologies dépassées, mais à celles qui sont à la pointe et qui sont plus bénéfiques. Nos industries ne fonctionnent pas selon leurs capacités, faute d’une production suffisante. Même quand la production s’avère suffisante, les marchés font défaut. Il faut donc harmoniser le commerce et la production, mettre toujours de la valeur ajoutée, et éviter que le changement climatique, la sécheresse, les inondations, le changement de saison, affectent notre récolte », a-t-il relevé.

En définitive, les défis qui persistent au sein des pays de l’EAC demeurent les infrastructures nécessaires à l’industrialisation, notamment des routes et des chemins de fer, etc., ainsi que l’électricité, et des arrangements institutionnels pour les orientations et la coordination des conseils pour l’industrialisation.

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ADIR, pour une agro-industrie consciente du climat, du commerce et de la sécurité alimentaire

BUJUMBURA, Burundi (PAMACC News) – L’Action Développement et Intégration Régionale (ADIR) a tenu, ce mardi 7 août, à Bujumbura, sa sixième réunion du Groupe National de Référence du PACT EAC2 (Promoting Agriculture, Climate and Trade Linkages in the East African Community-Phase 2).

BUJUMBURA, Burundi (PAMACC News) – L’Action Développement et Intégration Régionale (ADIR) a tenu, ce mardi 7 août, à Bujumbura, sa sixième réunion du Groupe National de Référence du PACT EAC2 (Promoting Agriculture, Climate and Trade Linkages in the East African Community-Phase 2).

« Faire un plaidoyer une politique industrielle qui s’adapte aux changements climatiques, qui bénéficie du commerce, et qui assure la sécurité alimentaire, tel était le but de cette assise », a déclaré, Godefroid Manirankunda, représentant légal de l’ADIR, lors du lancement des travaux.Selon lui, l’industrialisation est une nécessité pour mettre en place une économie indépendante qui ne se conçoit que dans un cadre planifié. « L’agro-industrie ne peut dans ce contexte qu’être un secteur promoteur à condition que les filières mises en place apportent une réelle valeur ajoutée aux produits de base », a-t-il précisé.

Dans une étude publiée dans le cadre du projet ‘’ Promotion des liens entre l’Agriculture, le climat et le commerce dans la Communauté est-africaine-Phase 2’’, René Nsabimana, expert, a évoqué cinq priorités dont le Burundi doit prendre en compte dans l’élaboration de sa politique nationale d’industrialisation.

Il s’agit, selon lui, de la gestion durable des ressources en eau et des sols, l’adaptation climatique dans l’agro-industrie et les infrastructures, le respect des normes techniques pour les produits agro-industriels, la diversification des exportations ainsi que la conformité aux règles d’origines.

Procédant à l’ouverture officielle de cette réunion, Aimable Nkunzumwami, assistant du ministre de l’industrie, du commerce et du tourisme a signalé, pour sa part, que le gouvernemenT du Burundi a entamé la procédure d’élaboration de sa Politique Nationale d’Industrialisation.

« Et cette dernière, dans ses priorités, met en avant le développement de l’agro-industrie », a-t-il ajouté, notant que ‘’ce n’est pas un rêve’’. Car, a-t-il justifié, ‘’ le Burundi a des potentialités en matière d’agriculture diversifiée qui peut concourir à la valeur ajoutée’’.

Et de déplorer néanmoins que cette agriculture reste handicapée par une série de contraintes relevant des disponibilités des facteurs, du progrès technique, des politiques financières et des mécanismes d’incitation économique. Selon lui, ces handicaps doivent être levés pour atteindre l’objectif de l’agro-industrie et assurer la sécurité alimentaire.

Pour M. Nkunzumwami, les défis majeurs du secteur agro-alimentaire ont essentiellement trait aux formes centralisées de gestion du secteur, aux politiques de l’offre et de la pénétration du marché mondial, ainsi qu’au choix technique.

Il a ainsi annoncé que la réussite d’une industrialisation durable nécessite la mise en place d’une politique particulièrement intéressante à l’égard de tous les agents de l’extérieur, et exige que l’on accepte les règles de la spécialisation internationale articulée sur les chaînes de valeur.

Au cours de cette réunion, les participants ont également échangé sur la prochaine Stratégie de Développement du Secteur Privé (SDSP) de la Communauté est-africaine (CAE) (2018-2022).

Ainsi, via une déclaration, ils ont exhorté le Secrétariat de la CAE et les Etats membres à envisager des synergies entre le changement, le commerce, la sécurité alimentaire et l’agro-industrie lors de l’élaboration de la nouvelle SDSP.

Ils leur ont demandé en outre d’impliquer tous les acteurs nationaux et régionaux concernés de manière inclusive, y compris ceux impliqués dans le projet PACT EAC2

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Invest in typical agricultural institutions – Prof Nhamo

Uganda needs to open up more agricultural universities and tailor the studies in line with the country’s needs if the sector is to continue being the backbone for the economy, a South African professor has said.

Prof Godwell Nhamo, the chief researcher and lecturer at the University of South Africa (UNISA), says economies that are dependent on agriculture cannot talk of fighting poverty when they do not invest in agriculture.

“If you want to eradicate poverty, you must invest in agriculture and think agriculture. Uganda, and the African continent at large, needs typical agricultural universities and the whole university curriculum needs to be disrupted,” Prof Nhamo said.

Available reports indicate that apart from faculties and agricultural colleges, there are very few typical agricultural universities in the region. In East Africa, for example, the only typical agricultural university is the Sokoine University of Agriculture in Tanzania.

Uganda has Bukalasa Agricultural College and in Kenya there is now Jomo Kenyatta University of Agriculture and Technology.

Prof Nhamo was speaking during a training programme on promoting agriculture and climate trade linkages in the East African Community in Uganda recently.

The training, developed with financial assistance from CUTS International Geneva, undertook individual EAC research studies on agro-industrial development policies in the context of climate change, food security and trade linkages.

Leslie Debornes, the assistant programme officer, CUTS International Geneva, stressed the need for research and capacity building in agriculture, tourism and manufacturing sectors for Uganda’s development.

“As CUTS, this has given us an opportunity to reflect on many needs to be addressed and possible avenues for collaboration,” said Debornes.

“It rings a bell to what CUTS and its partners in Uganda, SEATINI, have been working on for the last seven years. Let’s hope we can continue to work together and build new partnerships”.

On the importance of facts, SEATINI Uganda Director Ambassador Nathan Irumba noted that data is not taken seriously in Africa.

“The problem with this country is that data is not taken seriously yet it is our obligation. Those days, an agricultural officer would report monthly on a possibility of drought or famine. But this is not the case now.”

“This bumper harvest of maize could have been seen earlier. But now we are reacting.”

In his presentation on “Agro-industrial Development in the Context of Climate Change, Food Security and Trade, Developing Coherent Policies & Programmes in Uganda”, Prof Nhamo said the next global wars are not going to be about water or climate change, but on seeds.

Citing Monsanto, the US agrichemicals giant, which is synonymous with genetically modified organisms (GMOs), Nhamo expressed fears that time will come when African farmers will no longer be able to keep their organic seeds.

“With Monsanto, it might make you illegal to keep your own seed. And that is what the war of this century will be all about. It will not be about water or climate change, but seed,” Prof Nhamo said.

On Uganda’s industrial policy being developed, Prof Nhamo said there is need to interest the population in agriculture.

“How do you try to put a policy in place when your very own people are not interested in agriculture? We need to be aware where the world is going and where the continent is going if we have to develop an agro industrial policy,” he said.

“The Malabo declaration says 10 per cent. We are not yet near there. Rwanda is almost there. The 10 per cent is a very serious Malabo declaration”

In the historical 2014 Malabo declaration, it was agreed that African countries must allocate at least 10 per cent of their national budget to agriculture.

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Uganda Advised on Value Addition

Experts have asked the government to support farmers to add value to their products. They argued that most of Uganda’s exports, especially in agriculture are raw but once value is added, they can fetch higher prices on the regional and global markets.

They argued that most of Uganda’s exports, especially in agriculture are raw but once value is added, they can fetch higher prices on the regional and global markets.

According to Jane Nalunga, the country director of Southern and Eastern Africa Trade Information and Negotiations Institute (SEATINI Uganda. “we do not add value to our agricultural products, the prices remain low in fact, this is what President Yoweri Museveni has always talked about. For instance, malze prices severely fell to shtoo-sh150, but once some value addition is done, the prices increase.”

In 2016, Uganda exported about 534,800 tonnes of grains worth $253m. However, with value addition, experts think the market base for the produce can be boosted. This was during a two-day annual meeting for regional institutions and agro-businesses, organised by SEATINI in conjunction with CUTS International, in Kampala on Tuesday.

Jennifer Gache, a senior industrial engineer in the Industrial Development department at East African Community (EAC) secretariat, highlighted the need for the partner states to facilitate intra-regional trade. East Africa currently is a market for products made from other countries yet some of them can be manufactured within. The governments should create enabling environments in terms of policies and infrastructure for private sector business to thrive,” Gache said. She, however, commended the EAC for the efforts in developing trade infrastructure such as the Standard Gauge Railway, roads and extension of electricity among others.

John Walugembe, a business development specialist, said low or no value addition in agricultural produce accounts for the low sector’s contribution to the economy of the country.

Michael Werikhe, the state minister for trade, said the Government is currently supporting small-holder agro based industries with equipment with the aim of enhancing value addition.

”We no longer support exporting raw materials. We want people to export value addition to products for export,” he stated.

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More needed to mitigate climate change impact on agriculture, say sector players

The fourth and last Regional Annual Meeting (RAMA4) examining the impact and the link between agriculture, trade and climate change kicked off with a call to consolidate positive outcomes that the project registered over the last four years

It further emerged in the two-day regional meeting ending today (Tuesday 17), that climate change challenge is a cross-cutting issue, considering its effects and links to agriculture and trade, both key sectors of the regional economy. It should also be noted that majority of Ugandans and the East Africans in general largely derive their livelihoods from these two economic sectors whose link to climate change has since become crystal clear.

And given the dangers that climate change poses on agriculture and consequently trade and investment, participants drawn across the EAC Members States, attending the two-day regional meeting in Nairobi, Kenya did not only support the move to mitigate climate change but were also in favour of technology adoption as a way to deal with such and related challenges, going forward.

Speaking during the Fourth Regional Annual Meeting under Promoting–Agriculture-Climate –Trade Linkages in the EAC (PACT EAC2) Project, the Kenya’s Cabinet Secretary for Industry, Trade and Cooperatives, Peter Munya, in his speech delivered by Mr Jared Nyaundi, the Director of Internal Trade, said: “Climate change poses substantial risks to economic growth and development efforts across the world.”

He continued: “Already African ecosystems is being affected, with projected future impacts on food security concerns, and more importantly on balance of trade on economics that are reliant mostly on agriculture. As climate-related natural disasters grow in frequency and severity, the risks to families and to development overall will only intensify.”

In East Africa, agriculture is the most dominant sector with an estimate of 36 per cent of the region’s GDP and accounting for the livelihood of about 80 per cent of EAC citizens.

Further, through varied forms of agro-processing, agricultural value addition in the EAC region contributes to more than 80 per cent of the total manufacturing.